Un analyste politique influence les politiques locales et nationales. Attendez-vous à des questions basées sur la personnalité et sur des scénarios lorsque vous passez un entretien d’embauche pour ce poste. Soyez prêt à être testé sur votre capacité d’analyse, de jugement et de communication.
Voici trois des questions d’entretien d’embauche les plus fréquentes pour un analyste politique (H/F) les plus fréquentes et comment y répondre :
Comment répondre : La personne faisant passer l’entretien analyse votre expérience professionnelle et vos besoins en formation. Donnez des exemples pertinents tirés de votre expérience professionnelle qui correspondent aux critères de l’offre d’emploi. Par exemple, parlez de votre expérience en matière de critique des documents d’orientation, de communication de votre position de principe via les médias, de collaboration avec les législateurs, les groupes communautaires et les activistes, et de témoignage devant les organes élus.
Comment répondre : Avec cette question basée sur la personnalité, le responsable du recrutement évalue si vous possédez les compétences non techniques adéquates, telles que le jugement, la résolution de problème et l’analyse. Utilisez la méthode STAR pour décrire une situation dans laquelle vous avez été confronté à un dilemme éthique, la tâche qui a été la vôtre dans cette situation, les mesures que vous avez prises pour résoudre le dilemme, et le résultat. Si possible, adaptez votre réponse au cadre de compétences de l’entreprise.
Comment répondre : Avec cette question, le responsable du recrutement évalue votre analyse, votre motivation et votre jugement. Démontrez vos compétences au moyen d’une réponse judicieuse et pertinente. Renseignez-vous au préalable sur l’entreprise, procédez à une analyse « SWOT » (forces, faiblesses, possibilités, menaces) et identifiez ses principaux points faibles internes et ses menaces externes. Résumez vos conclusions dans votre réponse. Préparez une stratégie visant à résoudre ces problèmes et présentez-la, si elle vous est demandée.
↳
The position is much more than the idealistic job in international relations. While one IS indeed representing his/her country of origin in a multilateral organization, the "back office" part of the job takes its toll and one must be ready for the bureaucratic workload. Moins